Les allumettes
suèdoises
SEQUERA JESSICA 3B
1-
Biographie de
l’auteur:
Robert Sabatier né à Paris, ses premières
années ont inspiré sa serie romanesque “Les allumettes suèdoises (six
volumes)”. En 1950, travaillant aux Presses Universitaires de France, il
manifeste de l’intêret et de la curiosité pour diverses disciplines. En 1953
sont publiée “Les fêtes solaires”, receuil de poèmes et “Alain et le
nègre”, roman. Dès lors alterneront romans, essais, poèmes mais aussi le “Dictionnaire
de la mort” ou les aphorismes du livre de la “Deraison souviante”.
Robert Sabatier est l’auteur de
huit recueils de poèmes, le plus rècent étant “Les Masques et le miroir”,
d’un essai, “l’Etat princier”, et d’une histoire de la poèsie française
en neuf volumes. Tous ces ouvrages ont été publiés aux éditions Albin Michel.
Il en fut les directeur litteraire jusque’à son entrée a l’Académie Goncourt rn
1971. La majorité de ses romans ont été traduits en quinze langues et repris
par “Le livre de poche”tout comme les poèmes. Au cinema ou à la
télévision ont été adaptés “Les allumettes suèdoises”
Il fête à sa manière la naissance du nouveau millénaire dans son
tout dernier roman: “Le sourire aux lèvres”, riche en surprise, et fort
inattendu.
2-
Bibliographie de
Robert Sabatier
Au éditions
Albin Michel
Romans:
- Alain et le nègre
- Le marchand de
sable
- Le goût de la
cendre
- Boulevard
- Canard au sang
- La sainte farce
- La mort du
figuier
- Dessin sur un
trottoir
- Le chinois
d’Afrique
Le roman d’olivier:
- David et Olivier
- Olivier et ses
amis
- Les allumettes
suèdoises
- Les fillettes
chantantes
- Les fêtes solaires
- L’oiseau de demain
- Les masques et le miroir
- Dedicace d’un navire
- Les poisons delectables
- Les chateaux de millions d’années
-Icare et autres poèmes
3-Portrait des personajes
Olivier: C’est un
garçon aux yeux verts trop grands pour son visage, avec une mêche de longs
cheveux dorés qui retombe aussitôt sur son front.
Virginie: Elle était
la mère d’olivier qui mourut. Elle était élancé, avec un visage d’un parfait
ovale éclairé par d’immense yeux verts irréels dont il avait herité, et
couronné par des cheveux couleur de chacune qu’elle tirait en arrière pour les
rouler en un épais chignon piqué d’un peigne d’écaille blonde.
Mme Albertine Haque: Elle évoquait une sculpture inachevée. On distingue sous une masse
épaisse des traits qui avait dû être fons. Elle était grosse et se coiffait de
manière ridicule, le carmin débordant sa lèvre superieure arrondissait sa
bouche de fard rouge sur ses pommettes.
L’Araignée: “l’araignée”c’etait son surnom car il était digne de la baraque foraine.
Ses jambes deformées s’écartaient des deux côtés de son corps et il marchait de
côté en s’aidant de deux bâtons. Ses yeux étaient tout noirs, son visage tout
tanné et des grosses bien dessinées.
Jean: C’etait un homme
âgé seulement de vingt quatre ans. C’était un être pacifique, droit te
caractère, indécis, timide.
Clodie: Elle
était brune et jolie comme un bouquet,
aux yeux couleur ardoise, a la bouche mûre et attirante comme une fraise
Beau Mac: Ses doigts
se crispaient comme pour presser une éponge, ses bras ballants comme un
sportif, il avait une lueur méchante et ironique dans les yeux.
Lucien:
Degingandé, asseux, vêtu en toutes saisons d’un pantalon taillé dans une
couverture de l’armée et d’un chandail tricobé à mailles lâches qui lui tombait
jusqu’à mi-cuisse et qu’il tiraillait sans cesse.
Mado la princesse: Elle
avait un beau visage, son nez tout lisse, tout clair, ses jolis cheveux blond
platine. Sa beauté rendait un peu triste
4-Les lieux
-Sur les pentes de Montmartre
-Dans les rues:
- la rue de Labat
- la rue Bachelet
- la rue Rochechouant
- la rue du ruisseau
- la rue Nicolet
- la rue Ramey
- la rue Clignancourt
- la rue des Saules
- la rue Saint-Vincent
- Boulevard Barbès
- Boulevard Ornano
- Boulevard Rochechouart
- Boulevard Pigalle
- Boulevard Blanche
5- L’époque:
Cette histoire se
situe dans les vieux quartiers de Paris au début des années 30.
6- Un résumé:
Dans la partie
haute de la rue Labat, sur les pentes de Montmartre, un enfant de dix ans
appelé Olivier resté orphelin. Sa mère, Virginie vient de mourir et le sort de
l’enfant n’étant pas fixé, il vit en partie chez ses cousins Jean et Elodie.
Dans les rues de ce temps-là, animées, souriantes, avec les gens assis sur les
pas des portes, les bandes d’enfants jouant au milieu de la rue, règne une
atmosphère de fête. C’est là où il reencontré des personajes populaires, de
Lucien le sans-filiste à Bougras le vieil Anar, de Gastounet l’ancien
combattant au beau mac le mauvais garçon, et aussi l’infirme au regard pensif
qu’on appelle l’Araignée, et des femmes comme Mado la princesse,
7- Critique
personnelle:
Dans cette histoire
ont peut observer un Paris différent celui que nous conaissons, une autre
manière de vivre. Pour les jeunes, peut-être ils trouveront dans ce roman-là
une époque recherchée, où les quartiers de Paris ressemblaient à des villages
joyeux. Les lecteurs retrouveront dans
ce roman toute la sensibilité d’un
enfant. Les allumettes suèdoises est une histoire qui concerne tous les hommes,
toutes les femmes puisque avec cette enfance il s’agit la lutte d’un enfant
très dure.